bonjour
nous nous sommes rencontrés cet été, dans la maison de léo
j’ai visité le site
j’ai beaucoup aimé votre travail
au plaisir de vous rencontrer sur angers
martine
wwww.martinemaudet.comTexte de votre message
Je viens d’accrocher une encre de Gérard Daran. Elle représente un personnage obèse, dont le crâne est fendu et recousu, et ressemble à un ballon de rugby. Présence cruelle d’un corps grossi et blessé, cette figure n’en est pas moins protectrice par un regard généreux qui se donne, et elle ressemble à une effigie africaine un rien brute. Un petit doigt levé nous fait signe. Il esquisse comme un geste de prière. Pourquoi ? Parce que, dans cette figure mystérieuse, se joue une volonté de compenser par la désillusion l’impeccable plastique de bien d’autres œuvres.
Merci à Gérard Daran pour cette beauté rude, et surréelle, où s’exprime tout son talent plastique.
Question à Gérard Daran : est-ce un autoportrait ?
Je tenais à faire remarquer par cette remarque que je suis content de la qualité de ce site web. C’est rare mais les commentaires ne sont pas dégradés par du spam et on peut donc avoir une réelle discussion. Merci c’est réconfortant.
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Nous nous sommes rencontrés, tous deux, lors d’un vernissage de la Galerie Graal de Toulouse. Là, vous m’aviez relaté vos 10 premières années chez moi en Belgique et toutes les années ensuite. Je suis vos travaux toujours avec beaucoup d’admiration pour l’Artiste hors pair que vous êtes. J’Aime la finesse de vos œuvres, la force qui s’en dégage et ce côté intemporel ... tout me fascine. Pourriez-vous me faire savoir lorsque vous exposerez à la Galerie Sakah ? D’avance je vous en remercie.
Sfugge nel tempo, del soffio d’amor l’agognoscolpita immagine di
giovine età,disegnate linee veli accarezzanodi speranze la sete, riposte
in sogno,con parole chiuse nell’anima e si pregnanoavviluppando carni
flessuose nella nudità.
Mani inseguono, anelanovalli incatenate d’un virtuale abbraccio,lo
sguardo si sperde nei miraggi lontanodipingendo emozioni, il
rintraccioseppellite tra le stelle nel recondito desideriocon lo sfilo
delicato di memore pensiero.
Regale donna ignuda attendenel mare della nostalgia… ricamasu vestigia in
visione all’apparire diveltee nell’attesa ancor vana, ella
bramadell’essere… stella amata e sognacon passione a brillare che
investe.
L’aria è profumata d’amoresospinge il vento sul patio del sentimentoe
giace immobile nell’indugio frementementre sospirosa al fil di voce,
attendequel reale abbraccio che fende il cuore.
18 Messages
13:06
Sublime l’affiche de Toulouse...impatiente de voir les œuvres...
Marie.
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14:27
bonjour
nous nous sommes rencontrés cet été, dans la maison de léo
j’ai visité le site
j’ai beaucoup aimé votre travail
au plaisir de vous rencontrer sur angers
martine
wwww.martinemaudet.comTexte de votre message
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21:00
Grande découverte, un style parfait et unique dans le trait, un grand artiste que je découvre.
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22:34
amazing work ! congratulations ! hope to see more !
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21:53
Bravo pour ce site qui permet de découvrir un artiste de talent
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10:50
Vos œuvres sont intemporelles et conjugent une très grande modernité. Vous êtes un très grand artiste.
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14:55
Très belles œuvres, beaucoup de talent. Merci pour la dédicace sur le carton d’invitation.
carole
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10:21
Je viens d’accrocher une encre de Gérard Daran. Elle représente un personnage obèse, dont le crâne est fendu et recousu, et ressemble à un ballon de rugby. Présence cruelle d’un corps grossi et blessé, cette figure n’en est pas moins protectrice par un regard généreux qui se donne, et elle ressemble à une effigie africaine un rien brute. Un petit doigt levé nous fait signe. Il esquisse comme un geste de prière. Pourquoi ? Parce que, dans cette figure mystérieuse, se joue une volonté de compenser par la désillusion l’impeccable plastique de bien d’autres œuvres.
Merci à Gérard Daran pour cette beauté rude, et surréelle, où s’exprime tout son talent plastique.
Question à Gérard Daran : est-ce un autoportrait ?
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13:32
Métal et chaire, finesse de ces corps déroulés sur la toile à fond métallisé. Quelle mouche s’y est frottée ? Grande tentative osée mais réussie.
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23:23
Interessante. J’aime passer sur votre site. Pour info je tien a souligner votre splendide plume.
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14:51
Je tenais à faire remarquer par cette remarque que je suis content de la qualité de ce site web. C’est rare mais les commentaires ne sont pas dégradés par du spam et on peut donc avoir une réelle discussion. Merci c’est réconfortant.
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13:09
Monsieur Daran,
Nous nous sommes rencontrés, tous deux, lors d’un vernissage de la Galerie Graal de Toulouse. Là, vous m’aviez relaté vos 10 premières années chez moi en Belgique et toutes les années ensuite. Je suis vos travaux toujours avec beaucoup d’admiration pour l’Artiste hors pair que vous êtes. J’Aime la finesse de vos œuvres, la force qui s’en dégage et ce côté intemporel ... tout me fascine. Pourriez-vous me faire savoir lorsque vous exposerez à la Galerie Sakah ? D’avance je vous en remercie.
Artistiquement vôtre,
Jeanne-Marie Beuzard
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10:10
Vos œuvres m’ont portée dans un autre monde, elles ne veulent plus sortir de ma tête. merci.
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19:33
Du talent comme on en voit plus qui me rappelle les grands maîtres de la Renaissance italienne...
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13:23
Bonjour Gérard, c’est sublimissime. J’ai aussi posté sur une page de groupe Facebook, ils adorent. Bises Saida G.
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21:09
Sfugge nel tempo, del soffio d’amor l’agognoscolpita immagine di
giovine età,disegnate linee veli accarezzanodi speranze la sete, riposte
in sogno,con parole chiuse nell’anima e si pregnanoavviluppando carni
flessuose nella nudità.
Mani inseguono, anelanovalli incatenate d’un virtuale abbraccio,lo
sguardo si sperde nei miraggi lontanodipingendo emozioni, il
rintraccioseppellite tra le stelle nel recondito desideriocon lo sfilo
delicato di memore pensiero.
Regale donna ignuda attendenel mare della nostalgia… ricamasu vestigia in
visione all’apparire diveltee nell’attesa ancor vana, ella
bramadell’essere… stella amata e sognacon passione a brillare che
investe.
L’aria è profumata d’amoresospinge il vento sul patio del sentimentoe
giace immobile nell’indugio frementementre sospirosa al fil di voce,
attendequel reale abbraccio che fende il cuore.
Giovanni Monopoli
Copyright © poesie mie : Giovanni Monopoli
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20:00
Texte de votre message
Toiles-poèmes où les images,
mémoires d’une ère nouvelle,
habillent artères d’infinis.
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12:33
Toiles-poèmes où les images,
mémoires d’une ère nouvelle,
habillent artères d’infinis.
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